Partie intégrante de l’œuvre maîtresse de Ghazâlî, ce livre s’inscrit dans une logique de prévention. En quelque sorte, Al-Ghazâlî nous livre à demi-mot une expérience intime. Lui qui fut le Maître de la grande université de Bagdad et le protégé du pouvoir Seljoukide est passé par cette voie étroite et
« La recherche du savoir est une obligation incombant à tout musulman ». Cette parole du Prophète Muhammad (bsl) encourage à acquérir la science sacrée, viatique indispensable pour qui désire se rapprocher de Dieu, L’adorer et Le connaître, en vertu de l’Esprit, d’origine divine, que l’homme porte en lui. Après
Tome II Livre VI, cet ouvrage s’inscrit dans l’œuvre magistrale de l’imam al-Ghazâlî, Revivification des Sciences de la Religion. Est étudiée ici l’une des disciplines fondamentales du cheminement spirituel de tout aspirant à la sagesse. Ghazâlî nous clarifie dans cet opuscule la nature de la solitude, ses avantages, ses inconvénients
Cet ouvrage s’inscrit dans l’œuvre magistrale de l’imam al-Ghazâlî, Revivification des Sciences de la Religion. Thème très apprécié des maîtres spirituels, les règles de compagnonnage régulent toute la progression des aspirants à la voie initiatique et religieuse. Sarrâj, Sulami, Mekkî et d’autres intellectuels des périodes précédantes ont conscré des chapitre
Tome X Livre I, cet ouvrage s’inscrit dans l’œuvre magistrale de l’imam al-Ghazâlî, Revivification des Sciences de la Religion. Ce livre conclut le chapitre des actes dévotionnels et par conséquent le premier tome de cette somme monumentale. Le Sheikh nous explique que la notion de dévotion recouvre tous les actes
Cet ouvrage s’inscrit dans l’œuvre magistrale de l’imam al-Ghazâlî, Revivification des Sciences de la Religion. Il constitue le quatrième livre du tome III. S’inscrivant dans la logique des livres de cette section nous décrivant les dangers se dressant sur la voie spirituelle, ce livre précède celui de La colère, ce
Le Prophète – que la bénédiction et le salut de Dieu soient sur lui – a dit : » La recherche du licite est une obligation pour tout musulman « . C’est là une obligation d’entre les obligations, la plus difficile à comprendre et à mettre en pratique. C’est ce qui
Cet ouvrage s’inscrit dans l’œuvre magistrale de l’imam al-Ghazâlî, Revivification des Sciences de la Religion. Notre auteur aborde ici une question centrale à l’islam. Une question qui encore de nos jours préoccupe tous les musulmans. Le statut régissant légalement les choses de ce monde se décline en trois catégories :
Le Livre du Repentir que nous présentons occupe, au sein de l’Ihya ‘Ulûm ad-Dîn, une place prépondérante. Il représente la partie essentielle du traitement (‘ilâj) avant que tout cheminant dans la voie de la ma’rifa ne s’apprête à découvrir les prémisses de l’invisible (ghayb). Articulé autour de trois grands éléments
Tome II Livre VII, cet ouvrage s’inscrit dans l’œuvre magistrale de l’imam al-Ghazâlî, Revivification des Sciences de la Religion. Est étudié ici le voyage ; ses conditions, ses avantages, ses inconvénients, ses préparatifs et ses dangers. Il passe en revue tous les points doctrinaux et dogmatiques se rattachant au voyage
Le Minhâj est probablement l’un des derniers écrits de l’imam al-Ghazâlî, qui fut un auteur fécond. Dans cet ouvrage rédigé à l’attention de ses disciples, le maître résume la méthode de purification intérieure et d’observance extérieure qu’il préconise pour celui qui aspire à la félicité suprême. Il prend le soin
Cet ouvrage fut adressé au roi Muhammad b. Malikshâh, gouverneur Seljoukide qui désirait prendre connaissance de cette œuvre initialement rédigée en persan. Plus qu’un traité politique, cet ouvrage possède une dimension proprement spirituelle car les principes de concordance qui y sont mentionnés sont également valables dans d’autres cadres que celui
Comme aimait à le rappeler le Prophète صلى الله عليه وسلم, la Religion repose sur des fondements stables et immuables, c’est ce que nous remémore ici l’imâm al-Ghazâlî. Il écrit en ce sens : Allâh – exalté soit-Il ! – dit : « ? fils d’Adam ! Contente toi [de
Aucune voie n’avait semblé satisfaire Ghazâli. Le maître se tourne alors vers la voie mystique, et ne tarde pas à s’apercevoir qu’elle est savoir et pratique, et que le but de la pratique est la détachement de tout et l’attachement à Dieu. Il ne lui fut pas difficile de se
